Nous sommes sur le parvis de la chapelle « Notre Dame de la joie » qui se situe directement en bord de mer, entre St Pierre et St Guénolé. Sentinelle surveillant la mer, elle est dédiée à la Vierge. Les marins viennent la remercier de les avoir sauvés des tempêtes lors du pardon qui a lieu le 15 août.

A gauche nous allons vers St Pierre à la pointe de Penmarc’h avec ses sentinelles qui veillent ou veillaient pour la sécurité des marins. De gauche à droite, le phare d’Eckmühl, l’ancien phare, l’ancienne tour à feu adossé à la chapelle de St Pierre et le sémaphore de la Marine Nationale.

 A droite nous pénétrons dans la chapelle, cela tombe bien la porte est ouverte. Le retable, œuvre de Jean Le Bosser, date de 1756 (commandé à Jean Le Bosser le 15 février 1756). La chapelle abrite les statues de saint Méen, saint Côme et saint Damien, la Vierge (XVIIIe siècle), deux anges adorateurs et un Crucifix sans oublier les ex-votos suspendus aux poutres transversales de la chapelle.

La croisée des chemins.

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Crépuscule sur les Rochers, bientôt nous y serons en permanence ou presque, 30km c’est mieux que 580km n’est ce pas.

Crépuscule en Bretagne.

Tournepierre à Collier.

Apres le  » Gravelot à Collier  » voici le  » Tournepierre à Collier » un autre « Limicole » très fréquent sur nos côte.

Le tournepierre est un limicole un peu particulier, il ne cherche pas les immenses étendues sableuses mais préfère les côtes rocheuses avec des galets, des mares et des algues. Il y recherche sa nourriture, souvent en petits groupes, en retournant les pierres et les algues pour trouver sa pitance. Il consomme un buffet varié : vers, mollusques, insectes, petits crustacés et poissons, étoiles de mer, œufs d’oiseaux et même appâts abandonnés. C’est un véritable opportuniste.

Quand la Mer monte……..

Elle monte elle monte, pour ces deux promeneurs deux paires de chaussures mouillées.

C’est le prix a payer pour l’imprudence, le tarif aurait pu être beaucoup plus cher. Les clichés sont réalisé à la « Pointe de la Torche », mais de l’autre coté avec une vue sur la « Baie d’Audierne ».

Gravelot à coller interrompu.

Un male en tenue nuptiale avec sa calotte orange.
Il faut être élégant pour séduire les dames.

Il y a des courageux!!!!!!

Ce jour là sur la « Pointe de la Torche », il y avait d’annoncé un petit vent de Nord Ouest de 55km/heure, la température ambiante était de 9° Celsius et celle de l’eau ne devait pas être beaucoup plus élevée. Une chose est certaine, après les bains répétitifs ce « Véliplanchiste » devait avoir le nez tout propre. Merci qui, merci Stérimar.

Stérimar….

La pointe de Penmarc’h s’endort.

Et le Phare d’Eckmühl nous fait de l’œil, sa portée lumineuse est de 45km . De gauche à droite Eckmühl, l’ancienne tour à feu de St Pierre et la Chapelle, et ensuite le sémaphore. C’est l’un des 59 sémaphores qui couvrent les côtes françaises. Il dépend de la Marine nationale et a deux missions : la défense en surveillant l’espace maritime et aérien et le service public, les guetteurs de la Marine Nationale sont la pour sauvegarder des vies humaines, éviter les catastrophes maritimes, veiller à l’application des règlements de pêche et de plaisance.

Nichée dans la Campagne Bigoudène.

La chapelle de Beuzec ou Saint-Budoc est originale avec ses magnifiques vitraux et notamment la Maîtresse-vitre réalisée et créé par Jacques Godin artiste-peintre et mise en place par le Maître-verrier Charles Robert de Pluguffan. Paroisse jusqu’à la Révolution, Beuzec avait alors une vaste église dédiée à saint Budoc, maître de Saint Guénolé. De l’édifice du XIIe siècle ne subsiste que le chœur. La nef est tombée au siècle dernier. La verrière à quatre baies (vers 1400) est remarquable. À l’intérieur, quelques statues anciennes.
La fontaine se trouve à 500 mètres au nord.
À l’est de la chapelle se dresse « Ar Groas Veur », stèle christianisée, rappelant l’ancien culte celtique.
À 200 mètres au sud, se trouve le dolmen de Kerugou (chambres sépulcrales).

Source: https://www.destination-paysbigouden.com/a-voir-a-faire/visites-patrimoine/chapelle-saint-budoc-beuzec-cap-caval-1486595

Réalisé avec 3 clichés assemblés.

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La Vallée du Moulin Neuf.

Le Pays Bigouden ce n’est pas que des « Rochers » et de « L’eau salée ». Il y a également des vallées et des zones humides propices à la création de brumes, ici la  » Vallée du Moulin Neuf » qui est située au pied de la plus grande réserve d’eau douce du Pays Bigouden. Elle est alimentée principalement par la « Rivière de Pont-l’Abbé » et le ruisseau du « Lanvern », la retenue d’eau du « Moulin Neuf » a été créée en 1977. Sa fonction première est l’adduction en eau potable. La retenue est d’un volume d’environ 1 350 000 m3 et est une idée de randonnée car il est possible d’en faire le tour à pied.

Le Druide de la musique Celtique.

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Eh oui il s’agissait de Alan Stivell le druide de la musique Celtique Alan Stivell, né Alan Cochevelou le 6 janvier 1944 à Riom, c’est un auteur-compositeur-interprète et musicien français. Il milite pour faire reconnaitre le peuple breton avec sa langue et sa culture. Il était ici en concert à Plaisir dans les Yvelines lors du festival  » Escales d’ailleurs » en 2011.