Construit en 1905 sur l’îlot de Men Ar Groas, le phare a été relié depuis à la terre.
Les marins pêcheurs ont attendu une cinquantaine d’années avant de le voir s’élever vers le ciel en raison de démarches administratives très longues.
Comment faisaient-ils sans phare au début du siècle dernier ? : une commerçante du village posait une lampe à pétrole tous les soirs sur le rebord de la fenêtre afin de guider nos marins. Le seul souci, éviter que la lampe ne s’éteigne…

Source Bigoudenjoy

Une autre vision du même phare mais de l’autre coté avec un temps nettement moins clément, nous comprenons mieux l’utilité de ce phare à l’entée du port de Lesconil.

Men Ar Groas.

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Apres les voiliers du port de « Le Bono » les pontons nickel de  » La Trinité sur Mer  » voici un joli bric à brac sur ponton du petit port de « Lesconil ».

Pour mieux apprécier le fouillis plein de charme d’un petit port de pêche.

Bric à brac à Lesconil.

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A l’ancienne ici au « Bono », des cordages , des bouts, de l’encaustique et des ampoules aux mains.

Une autre vision de la voile à la « Trinité sur Mer » avec ces formules un de la Mer, et encore il me semble que « Idec » ne soit pas le plus démesuré. Mon dernier souvenir de géant des Mers était « Geronimo » le monstre de Olivier de Kersauson mais c’était encore une autre époque.

La voile deux écoles, deux sensibilités.

Un petit peu de tout
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En remontant la rivière d’Auray, il ne faut pas se priver d’un détour par le petit port de « Le Bono » où vous pourrez admirer son vieux pont aujourd’hui uniquement piétonnier. La rivière a su conserver son côté sauvage, les berges bordées d’anciens terre-pleins ostréicoles témoignent encore d’une époque où l’activité était florissante et rythmait la vie de la ria. Le port a su s’adapter à l’évolution de la fréquentation et offre de bonnes conditions d’accostage et de navigation.

Bien connu des marins tous azimuts, le port de la Trinité sur Mer se laisse admirer du haut du Pont de Kerisper qui franchit la rivière de Crac’h sur plus de 200 mètres ou comme ici depuis la Société Nautique de la Trinité sur Mer. Un vrai musée à ciel ouvert où se côtoient voiliers, vedettes et yachts de toutes provenances et de toutes tailles. Les promeneurs sont rêveurs et certains se verraient bien larguer les amarres, direction… le large ! Et si quelques initiations s’imposent, les nombreuses écoles de voile de la Trinité-sur-Mer sauront vous mettre le pied à l’étrier, ou disons la main au bout ?! 

Sources: Morbihan l’esprit sud de la Bretagne.

Deux ports du Morbihan, deux sensibilités.

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Et ça continu encore et encore, néanmoins une petite sortie du coté de Bénodet avec une petite vision de la pointe de Groasguen et l’embouchure de la mer Blanche qui est une lagune très ramifiée côté nord (plusieurs petites rias y débouchent, principalement celles de l’anse de Groasguen. Il ne va pas falloir trop trainé sur place …….

Groasguen.

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Depuis des jours et des jours voici le temps que nous avons sur la Bretagne. Les nappes phréatiques se remplissent.

Une petite sortie en ville, un petit cliché de « Hôtel de Ville » de Pont l’Abbé coté jardin.

Construit au XIVe siècle par Hervé, baron Du Pont, ce château, ou manoir fortifié, comprenait un grand corps de logis rectangulaire, flanqué d’une grosse tour à chaque extrémité. L’une de ces tours est accostée d’une tourelle renfermant un escalier à noyau en pierre. L’autre tour a été rasée. Les fenêtres ont perdu leurs meneaux et traverses. Les lucarnes ont été refaites au XVIIe siècle, suite à l’incendie du château en 1675 lors d’une révolte paysanne.

Hôtel de ville de Pont l’Abbé.

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