
Le Printemps, c’est de pouvoir profiter du calme, ici à « Sainte Marine » en prenant garde d’éviter les ondées, car elles font partie intégrante du Printemps.
Un air de Printemps.
Le Printemps, c’est de pouvoir profiter du calme, ici à « Sainte Marine » en prenant garde d’éviter les ondées, car elles font partie intégrante du Printemps.
Un air de Printemps.
…qui aime la houle, le passage de « Bruno » qui est passé faire un tour en Bretagne lors de l’hiver 2017, devant vous la Pointe de la Torche. Le cliché est réalisé depuis Pors Carn..
Pour Marie…
Il n’est pas toujours si accueillant ce petit banc, quand la mer est en colère, il déguste. Il y a toujours du monde sur les « Rochers » plus ou moins raisonnable quand la mer gronde. Sur ce coup là l’APN a eu sa dose de sel.
Pour Marion 😉
Retour sur les Rochers de St Guénolé à Poulbriel , le soleil se couche sur le château des Goélands.
Une autre vision des Rochers avec une vision de la maison sourire à Poulbriel. Ce soir là le vent soufflait de l’Est Il faisait un froid de canard.
Il fait pas chaud……
Assis sur un banc, je tourne la tête à droite…
Et ensuite à gauche il y a pire comme paysage.
A droite, a gauche.
Petite promenade le long de l’Odet, départ du « Pont de Cornouaille » qui est la frontière physique en le » Pays Bigouden » et le « Pays Fouesnantais » la rive ou nous étions.
en empruntant le chemin côtier nous arrivons à l’anse de « Kerandraon » et ses belles demeures. Une petite remarque, le long de ce chemin parfois en foret, nous n’avons trouvé aucun papier, ce qui mérite d’être signalé.
Le long de l’Odet.
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Les carmes fondent leur quatrième couvent de Bretagne à Pont-l’Abbé en 1383 sur la rive droite de la rivière de Pont-l’Abbé ; il n’en reste plus que l’église actuelle. Elle est caractérisée par un clocher d’ardoise en casque construit en 1603, rare en Basse-Bretagne. Le plafond de la nef et de l’unique bas-côté sont lambrissé . La façade Ouest est éclairée d’une grande rosace, ainsi que celle du chevet qui repose sur une arcature de huit lancettes tréflées de 7,20 mètres de diamètre datant du 15e siècle.
Source Wikipédia.
L’église Saint-Jacques de Lambour est une église catholique en ruines située à Pont-l’Abbé en Bretagne. L’édifice actuel est édifié du 13e au 16e siècle pour servir d’église tréviale au village de Lambour, faubourg de Pont-l’Abbé situé dans la paroisse de Combrit. De style gothique, elle prend place dans un enclos comprenant également une stèle protohistorique. Le clocher est décapité par les troupes royales lors de la révolte des bonnets rouges en 1675. À la fin du 19e siècle, l’église est en très mauvais état et le conseil municipal de Pont-l’Abbé décide d’en ôter le toit, lui donnant son aspect actuel de ruine romantique.
Source Wikipédia.
Une ville, deux clochers deux histoires.
Construit en 1905 sur l’îlot de Men Ar Groas, le phare a été relié depuis à la terre.
Les marins pêcheurs ont attendu une cinquantaine d’années avant de le voir s’élever vers le ciel en raison de démarches administratives très longues.
Comment faisaient-ils sans phare au début du siècle dernier ? : une commerçante du village posait une lampe à pétrole tous les soirs sur le rebord de la fenêtre afin de guider nos marins. Le seul souci, éviter que la lampe ne s’éteigne…
Source Bigoudenjoy
Une autre vision du même phare mais de l’autre coté avec un temps nettement moins clément, nous comprenons mieux l’utilité de ce phare à l’entée du port de Lesconil.
Men Ar Groas.
Apres les voiliers du port de « Le Bono » les pontons nickel de » La Trinité sur Mer » voici un joli bric à brac sur ponton du petit port de « Lesconil ».
Pour mieux apprécier le fouillis plein de charme d’un petit port de pêche.
Bric à brac à Lesconil.
En remontant la rivière d’Auray, il ne faut pas se priver d’un détour par le petit port de « Le Bono » où vous pourrez admirer son vieux pont aujourd’hui uniquement piétonnier. La rivière a su conserver son côté sauvage, les berges bordées d’anciens terre-pleins ostréicoles témoignent encore d’une époque où l’activité était florissante et rythmait la vie de la ria. Le port a su s’adapter à l’évolution de la fréquentation et offre de bonnes conditions d’accostage et de navigation.
Bien connu des marins tous azimuts, le port de la Trinité sur Mer se laisse admirer du haut du Pont de Kerisper qui franchit la rivière de Crac’h sur plus de 200 mètres ou comme ici depuis la Société Nautique de la Trinité sur Mer. Un vrai musée à ciel ouvert où se côtoient voiliers, vedettes et yachts de toutes provenances et de toutes tailles. Les promeneurs sont rêveurs et certains se verraient bien larguer les amarres, direction… le large ! Et si quelques initiations s’imposent, les nombreuses écoles de voile de la Trinité-sur-Mer sauront vous mettre le pied à l’étrier, ou disons la main au bout ?!
Sources: Morbihan l’esprit sud de la Bretagne.
Deux ports du Morbihan, deux sensibilités.